PANZER PLOT

Je suis captivé par la vie et torturé par la mort. L’écriture se révèle comme un formidable remède à la mélancolie. Une arme redoutable contre tous les maux du monde. Écrire apaise le cœur et dénoue les nœuds de l’esprit. C’est une étonnante bouffée d’oxygène qui permet de faire le plein d’énergie.

Je vous propose d’être acteur de la naissance de mon livre en m’aidant à faire de sa parution prochaine, avec les Editions Maïa, un succès. Plus les préventes seront nombreuses, plus mon livre sera promu et diffusé. En retour, vous serez présents dans le livre en page de remerciements et vous recevrez le livre en avant-première, frais de port inclus !

 

[1] Autodafé, Opernplatz à Berlin, le 10 mai 1933. Opernplatz en anagramme = PANZER PLOT
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Projet abouti !

 

Pourquoi écrire une histoire à la frontière de la fantasy et du fantastique telles les peintures extravagantes de Dali ? Comment organiser les mots à l’image de son maniement de pinceau ? L’excentricité propose une imagination plus débordante. Il me fallait déceler un évènement du passé, marquant, voire traumatisant, qui profane l’essence humaine. Plusieurs épreuves se dressent : modeler un drame afin de lui attribuer une personnalité décalée, drôle et participative. Souligner nos esprits créatifs. Permettre un accent sur la langue française par la jonglerie des mots, des allusions subtiles, des références, des jeux de mots… Enfin, et pas des moindres, le défi d’emporter le lecteur dans une folle aventure pour lui permettre d’abandonner sa réalité. Tout nous est accessible, c’est mon message. Nous avons tous quelque chose en nous qui mérite d’être mise en lumière. L’écriture est une jolie manière d’exprimer en silence ce qui nous anime au plus profond de nous-mêmes.

Présentation livre

Est-ce un plaisir tout particulier de regarder les choses rongées par les flammes, de les voir calciner et changer ? D’aucuns sont tentés d’affirmer que cela dépend des intentions. C’est donc un trajet qui marque l’entrée dans le crime. Qui se considère victime parmi ces hurlements de haine qui pleuvent sur ces brasiers ? Tous, sans aucune exception. Le monde entier s’enflamme pour brûler sa folie. Notre époque contemporaine a rendu son verdict. Toutes œuvres se révèlent désormais comme une offense. Aux Dieux ? Ils sont déjà éliminés. À la vérité ? Nous y sommes… La purification par le feu s’offre en seule option sur une pensée unique qui se construit. Seulement voilà : le contrôle est une illusion. L’inconnu et la peur la renforcent. Soumis à ces puissances obscures, ces livres, tableaux, sculptures, films, jeux… se laissent dévorer par le feu. Sauf l’improbable qui opère dessous ces foyers ardents. Est-ce la science qui s’exprime ou bien un ensorcèlement né de cette frénésie ? De ces réalisations qui témoignent de la brutalité des flammes, s’échappent des torrents de personnages décidés à réécrire leur destin. Déroutés et apeurés, ceux-ci s’animent par la poussée d’un désir de vivre. L’impossible se montre convoité par l’espérance, voire la promesse d’une liberté. Faut-il se fier à son instinct plutôt qu’à la raison ? Ce Nouveau Monde autorise des rencontres fantastiques et favorise des odyssées extravagantes. Ça, c’est un univers en folie ! Et vous ne contredirez pas ce leitmotiv de Keith Winton ! Il l’ignore encore, mais sa présence va tout changer pour ses compagnons qui nagent dans l’adversité. Ce n’est pas que leur personnalité créée par leurs auteurs qui les animent, mais aussi la découverte de leur propre caractère. L’ombre avance, inexorablement. Elle s’obstine à tuer. Mais c’est sa nature. Seules deux questions se posent : cet Ovule spatio-temporel construit à la hâte va-t-il leur permettre de survivre à ces fins des mondes ? Que révèlera-t-il  à la sortie ultime de son septième passage ? Mais il est trop tard : le lecteur est déjà piégé dans cette folie et sa seule voie pour s’extraire de cet enfer, c’est de remplir, après, son univers à sa façon… S’il parvient à fermer ce livre.

Extrait

 

Les pieds assis dans le macrocosme, Tron égaye quelque peu leurs pas couronnés de halos fluorescents. Aux pourtours de la ville, l’impudicité de l’incandescence du Néant rugit dans les flammes gourgandines au travers de contorsions lascives. Des regards libidineux s’élèvent de feux follets verdâtres témoins de cadavres en putréfaction arrosés copieusement par une sauce braisée dans le formol. Ces exhalaisons de gaz clôturent cet espace délimité pour se préparer à l’envahir. Durant ce temps de manifestations externes anxiogènes et pathogènes qu’éructe ce tas d’immondices malveillantes, nos pilotes s’organisent. Vêtus de ces textiles moulants, ils se placent au volant de ces engins aux promesses mirobolantes. Une bruine de pixels rince des blocs de transformateurs survoltés spécialisés dans la pyrotechnie. Une étincelle de génie pourrait mettre le feu aux poudres et compromettre celui de mettre aussi le feu au lac. Il se montre donc opportun à mettre les gaz pour prendre la poudre d’escampette. Flynn assis sur la selle de sa moto bleue luminescente, agite son drapeau berné d’une ancienne révolution avortée. Le départ annoncé, ils enfoncent rapidement les portes ouvertes. Ceux-ci roulent sur les œufs en cloques, ampoulés aux passages de pneus crevés par l’effort de survirage qui bayent aux corneilles. De cette envolée de moineaux, le trio martyrise dans un vampirisme en rage de dents le fameux ruban de Moebius enragé lui aussi par ces malencontreuses circonstances. De façon insolite, la gomme de ces boyaux caoutchouteux, degré par degré, enflamme ses pavés de printemps 68. Si bien que plus tard, il n’en reste qu’un fil atrophié qui ne tient qu’à un string rachitique dansant le swing. Celui-ci se rompt, pour placer ces œufs dans le même panier et les propulser sur le paillasson d’escaliers de Penrose. Quelques convives mécréants s’invitent, le souffle gueux porté sur ces cous pleins de ressorts qui tressaillent sur cette vitesse zélée. Fort heureusement, Alita dans son costume de Marsupilami les couchent au tapis. Jules trouve le temps de la remercier dans l’expédition d’une poignée de proses en pauses. Le Kart de Keith ne freine pas parmi les circonvolutions de ces marches obscènes à rendre fou des peaux mortes qui se desquament. Quant à Albert, il commence à monter dans les tours puisque ce trou noir vitriolé à la portée de main ne peut se prendre qu’à bout de bras. Aussi, dans une force égale, voire supérieure à celle d’une centrifugeuse, celui-ci se hisse au sommet semblable au K2  pour infliger à son corps un 7 G .

  • Les étapes de créations

    Mon objectif est d'atteindre 990 € de pré-ventes afin de rendre possible la réalisation des maquettes, la correction, l'impression et la promotion. C'est pourquoi je fais appel à vous, auteurs, lecteurs et amoureux des mots ! Votre précommande permettra à mon projet de devenir réalité grâce à une équipe de professionnels.