Urbex Codex

Je suis actuellement consultant indépendant, enseignant, formateur et chef d’entreprises, avec un certain goût pour l’écriture et les aventures de type thriller, animant plusieurs blogs de management et de marketing/vente. J’aime les énigmes, les jeux, la nature et les animaux, les mathématiques et la lecture ainsi que les séries sur les mêmes thèmes. Je me suis décidé à coucher sur le papier cette aventure lors des différents confinements propices au repli sur soi et à la créativité littéraire, après avoir trouvé une idée avec du potentiel pour en faire un livre.

Je vous propose d’être acteur de la naissance de mon livre en m’aidant à faire de sa parution prochaine, avec les Editions Maïa, un succès. Plus les préventes seront nombreuses, plus mon livre sera promu et diffusé. En retour, vous serez présents dans le livre en page de remerciements et vous recevrez le livre en avant-première, frais de port inclus !

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Projet abouti !
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Il s’agit d’un roman de type thriller qui met en scène Elise une jeune fille qui se trouve entraînée dans une suite de meurtres à énigmes et qui va lui faire explorer ses peurs, tout au long de l’aventure. Elise, jeune fille équilibrée mais fragile, s’épanouit dans sa vie solitaire entre travail et découverte de l’urbex. Les scènes se situent autour de Châtellerault, en France.
Une série de meurtres, dont elle va découvrir les traces et les corps lors de ses explorations va la mettre au centre d’une énigme à étapes qu’elle devra déchiffrer et suivre pour en découvrir l’issue. Tout au long de ces crimes, elle met à l’épreuve ses peurs, ses doutes et se trouve confrontée à son passé.
Le livre reprend les thèmes classiques des roman policiers à énigmes sur des sites d’urbex, qui est un thème peu exploité en littérature qui comporte ses codes et ses propres mystères.

Extrait

« Voyons-voir de quoi il retourne au premier étage ! », pense t-elle tout haut. Un long couloir se déroule devant elle, légèrement baigné dans la lueur blafarde de la lune. « Les cellules sans doute ». A gauche se trouve une grande salle, remplie d’appareils d’un autre siècle: vu-mètres, fils électriques, sièges capitonnés, écrans ancestraux. Une salle d’expérimentations diverses, qui ne lui dit rien de bien. Les avancées scientifiques menées à marche forcée sur des cobayes humains et a fortiori, sur des personnes jugées folles, n’ont pas dérangé grand monde. Et encore moins le corps scientifique qui trouvait là, des patients très « patients », voire inconscients des troubles en question. « Science sans conscience…et dans l’inconscience collective ! ».

Cette grande salle lui file le frisson, mais c’est le jeu. La peur, ses peurs ! Que pourrait-il lui arriver ? Elle imagine le mécanisme de peur, que l’on a du mal à exprimer pour un aliéné mental, que l’on attache sur un siège ou une table d’opération pour l’examiner. Que ressent-il, que sent-il, comment son imagination travaille, gamberge, voire souffre ? On perçoit dans le regard, inquiétude, doute, lueur puis vide, folie, évanouissement. Et le médecin, comment communique t-il à ce moment là ? Que voit-il dans les réactions du fou lorsqu’il actionne les chocs électriques, pour « stimuler » comme ils disent, les réactions neurologiques du cerveau ? Sent-il la souffrance et comment sa conscience le guide et freine ses gestes? Ou bien sombre t-il dans l’aveuglement scientifique, grisé par la découverte ? Comment se forme le mécanisme de remords ? Arrive t-il à bien dormir ? « Pigs !…Les animaux ne sont pas ceux que l’on croit… ».

Elle progresse dans le couloir et entre dans une « cellule » capitonnée. Elle trouve un lit sommaire, de quoi surtout ne penser à rien : faire le vide, être vide, devenir vide. On croirait qu’au lieu de guérir, on gommait l’esprit des gens, savamment et patiemment. « Tu m’étonnes que cela ait fermé, comme si l’établissement lui-même se recroquevillait sur lui, l’anti-matière de la science ! ». Une photo au sol. L’horreur du regard du patient. Comme assagi, résigné. Vide. Elise repose la photo au sol, c’est la règle en urbex, elle ne peut l’emporter.

  • Les étapes de création

    Mon objectif est d'atteindre 990 € de pré-ventes afin de rendre possible la réalisation des maquettes, la correction, l'impression et la promotion. C'est pourquoi je fais appel à vous, auteurs, lecteurs et amoureux des mots ! Votre précommande permettra à mon projet de devenir réalité grâce à une équipe de professionnels.